mardi 23 août 2016

امتحان نيل شهادة السلك الاعدادي في مادة اللغة الفرنسية لجهة تادلة أزيلال دورة يونيو 2010


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mardi 2 août 2016



امتحان نيل شهادة السلك الاعدادي في مادة اللغة الفرنسية لجهة فاس بولمان دورة يونيو 2012

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samedi 30 juillet 2016

الامتحان الوطني الموحد للباكالوريا الدورة العادية 2010 شعبة التعليم الأصيل مسلك اللغة العربية مادة علوم اللغة
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dimanche 2 novembre 2014

Recherche sur L'énergie

L'énergie
L'énergie est la capacité d'un système à produire un travail1, entraînant un mouvement ou produisant par exemple de la lumière, de la chaleur ou de l’électricité. C'est une grandeur physique qui caractérise l'état d'un système et qui est d'une manière globale conservée au cours des transformations. L'énergie s'exprime en joules (dans le système international d'unités) ou souvent en kilowatt-heure (kW·h ou kWh).
Outre l'énergie au sens de la science physique, le terme « énergie » est aussi utilisé dans les domaines technologique, économique et écologique, pour évoquer les ressources énergétiques, leur consommation, leur développement, leur épuisement, leur impact écologique. Les principales ressources énergétiques sont les énergies fossiles (le gaz naturel, le charbon, le pétrole), l’énergie hydroélectrique, l’énergie éolienne, l’énergie nucléaire, l’énergie solaire, l'énergie géothermique.
Les activités économiques telles que les productions industrielles, le transport, le chauffage des bâtiments, l'utilisation d'appareils électriques divers, sont consommatrices de beaucoup d'énergie ; l'efficacité énergétique, la dépendance énergétique, la sécurité énergétique et le prix de l’énergie y sont des préoccupations majeures.
Une sensibilisation accrue aux effets du réchauffement climatique a conduit ces dernières années à un débat mondial sur la maîtrise des émissions de gaz à effet de serre et à des actions pour leur réduction. Cela conduit à envisager des transformations des modes de consommation énergétique (transition énergétique), pas seulement en raison des contraintes liées à l'épuisement de l'offre, mais aussi à cause des problèmes posés par les déchets, l'extraction des énergies fossiles, ou certains scénarios géopolitiques.
Formes d’énergie en physique mécanique
La physique mécanique, considère deux manifestations pour l’énergie :
·         l’énergie cinétique d’une masse en mouvement ;
·         l’énergie potentielle des forces d'interaction s’exerçant entre des systèmes.
Lorsque deux systèmes interagissent, ils échangent de l'énergie. Au cours de l'interaction, la somme des variations d'énergie dans le premier système est l'opposée de la somme des variations d'énergie dans le second : il y a conservation de l'énergie. Par exemple, un ballon qui chute librement dans l'atmosphère terrestre va transformer son énergie de pesanteur en chaleur, transmise à l'air, via les forces de frottement dues à la force électromagnétique. Il y a conversion de l'énergie potentielle de la force de gravitation du ballon en énergie cinétique puis en énergie cinétique des molécules de l'air (chaleur).
Sources d’énergie
On qualifie également l’énergie selon la source d’où elle est extraite ou le moyen par lequel elle est acheminée: les énergies fossiles, l’énergie nucléaire, l’énergie de masse, l’énergie solaire, l’énergie électrique, l’énergie chimique, l’énergie thermique, l'énergie d’origine bio massique (biomasse sèche, biomasse humide et biocarburants) ;

Il existe des sources d'énergie restant inchangées qu'on les exploite ou non : on les nomme par convention énergies renouvelables.

Recherche sur Les reptiles (qui rampent)

Les reptiles (qui rampent)
Les reptiles, au sens courant, regroupent des animaux terrestres à température variable (ectothermes) et au corps souvent allongé et recouvert d'écailles. Ce groupement, autrefois désigné sous le taxon des Reptilia, incluait aussi des animaux comme les dinosaures, les ptérosaures, les ichtyosaures, les plésiosaures et les pliosaures, mais s'est révélé être non pertinent avec l'essor de la cladistique. En effet les reptiles ne sont pas un groupe monophylétique, issu d'un ancêtre commun unique : ils forment un regroupement paraphylétique, c'est-à-dire qu'il ne comprend pas tous les descendants de leur ancêtre commun (les mammifères et les oiseaux). Certains animaux jadis considérés comme des reptiles, les ichtyosaures, se sont révélés avoir été vivipares ; d'autres tels les ptérosaures, étaient velus ; d'autres encore, les théropodes dinosauriens, ont survécu : ce sont les oiseaux ; enfin les « reptiles mammaliens » ont donné naissance aux mammifères. Les actuels crocodilienschéloniensrhynchocéphales et squamates ont beau être tous ectothermes et recouverts d'écailles, ils appartiennent eux aussi à des lignées différentes, les crocodiliens par exemple étant bien plus proches des oiseaux que des lézards ou des tortues. Cependant, dans l'usage courant, ce regroupement pratique est toujours utilisé.
La classe des reptiles comprenait quatre ordres d'espèces contemporaines :
Les crocodiliens : 25 espèces de crocodiles, gavials, caïmans et alligators.
·         les rhynchocéphales : 1 espèce de sphénodons ;
·         les squamates : environ 9 550 espèces de lézards (au sens large), serpents et amphisbènes (« lézard-ver ») ;
·         les tortues : environ 330 espèces.
L'étude de ces animaux forme une des deux branches de l'herpétologie, l'autre étant l'étude des amphibiens, anciennement rapprochés des reptiles.
Les premiers animaux à pouvoir être placés dans cette classe sont apparus sur Terre dès le Carbonifère, en même temps que les amniotes. Premiers vertébrés à pouvoir coloniser le milieu terrestre, ils se développent rapidement en une grande diversité d'espèces. Ils dominent largement la Terre au Mésozoïque à travers les dinosaures, mais ceux-ci seront supplantés par les mammifères après leur disparition à la fin du Crétacé. Les reptiles demeurent aujourd'hui bien représentés sur Terre avec plus de9 000 espèces répertoriées en 2011, surtout localisées à proximité des tropiques.
Les reptiles ont depuis toujours fasciné les hommes. Ils inquiètent et font souvent peur, et font l'objet d'une symbolique complexe. Ils sont omniprésents dans les mythologies du monde entier, qui se sont également inspirées de leurs caractéristiques pour imaginer des créatures comme les dragons. Ces dernières années, l'élevage de reptiles se développe dans le monde, pour fournir le marché de la viande dans certains pays consommateurs, mais surtout les marchés de la maroquinerie de luxe, qui utilisent leurs peaux, et des nouveaux animaux de compagnie. Toutefois, le braconnage est également bien développé, et met en danger de nombreuses espèces, malgré les tentatives de régulation du commerce d'animaux sauvages menées au niveau international. La pollution et la disparition des habitats des reptiles sont les autres principaux dangers auxquels ils sont exposés.
Dénomination
« Reptile » signifie « qui rampe » est issue du latin reptare qui signifie « ramper », terme qui fait référence au serpent de la Genèse1,note 1. Ce terme a fini par désigner un groupe d'animaux respirant à l'air, à écailles et ectothermes, bien que la reptation ne soit pas une caractéristique universelle pour ceux-ci.
« Reptilien » désigne ce qui est relatif aux reptiles, « reptilité » une attitude reptilienne. Ces deux termes ont une connotation négative, désignant ce qui est primitif et brutal. Toutefois, l'expression « animal reptilien », peut faire référence à tout animal qui rampe, y compris un insecte1. Dans la théorie obsolète du cerveau triunique popularisée dans les années 1970 par Paul D. MacLean, l'archipallium ou « cerveau reptilien » était considéré comme le siège des instincts, besoins primaires et des réflexes2.
Distribution et habitat
Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques69. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud.
Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m70. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire 69. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbres en arbres en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.
 Danger des reptiles pour l'homme
Les reptiles qui font le plus de victimes parmi les populations humaines sont sans conteste les serpents. En effet, le venin de certains est mortel si la blessure n'est pas soignée à temps. Il est très difficile de recenser le nombre d'attaques par des serpents et le nombre de morts. Elles demeurent relativement peu élevées dans les pays de l'hémisphère nord, mais sont très fréquentes en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. On estime le nombre de morsures annuelles à plus de 5 millions dont la moitié par des serpents venimeux, et le nombre de morts à environ 125 000 par an, dont pas moins de 100 000 en Asie131. Parmi les serpents venimeux dangereux, on note notamment les cobras et d'autres élapidés comme les mambas et les taipans, les crotales, les vipéridés.
Les crocodiliens ont une réputation de mangeurs d'homme et peuvent en effet présenter un véritable danger. Ils deviennent particulièrement dangereux pendant la période de reproduction, durant laquelle ils protègent leur territoire contre tout intrus. Ils attaquent parfois des pirogues traversant leur territoire sans forcément s'en prendre aux passagers. Des cas plus sérieux d'humains se baignant ou lavant du linge dans les rivières et emportés par un crocodile se produisent aussi régulièrement51 Aux États-Unis environ 200 attaques d'alligators ont été relevées depuis 1948, dont 14 mortelles132. En Australie, on comptabilise en moyenne une attaque mortelle de crocodile marin par an, généralement dans le Nord du pays133. Mais, c'est clairement en Afrique que les crocodiles font le plus de victimes. Il est toutefois difficile d'avoir des données claires car les décès ne sont pas forcément tous recensés, et on ne peut pas toujours savoir si une disparition a été causée ou non par une attaque de crocodile. On estime cependant le nombre de morts consécutives à des attaques de Crocodile du Nil à plusieurs centaines par an en Afrique sub-saharienne
 Peur des reptiles
Depuis toujours les reptiles inquiètent les hommes. La peur des reptiles est une des peurs les plus courantes, et peu provoquer une panique presque incontrôlable chez certaines personnes. On l'appelle herpétophobie, et la peur des serpents, qui est particulièrement répandue, est appelée ophiophobie. Ces réactions peuvent tout d'abord s'expliquer par le danger que ceux-ci représentent ; une morsure de serpent, si elle n'est pas systématiquement mortelle, nécessite souvent des soins importants. Par ailleurs, il pourrait y avoir une part d'instinctif dans la peur des reptiles, et notamment celle des serpents, puisque chez de nombreux mammifères cette réaction semble innée, ou du moins les animaux possèdent de très fortes prédispositions pour développer cette peur.